« Moi, Julien… » Saison 1 Episode 3 : Réveil En Fanfare, Soirée Mémorable

MARDI 31 JUILLET


Un toc toc toc me sortit de mon profond sommeil. 10H15 du mat. Cela devait être Marion. Je pris le risque d’ouvrir dans le plus simple appareil. J’avais raison. Elle me montra un sac de viennoiserie avec un sourire et rentra l’air de rien avec un « Je te prépare un p’tit dej ». Etape par les toilettes, brossage de dents histoire de ne pas trop puer du bec et retour sous les draps pour attendre le festin. Elle s’affairait dans la kitchenette, l’odeur du café chaud me titillait le nez. Elle est arrivée avec un plateau et s’est assise à côté de moi. Elle sentait bon le frais. Sa petite robe d’été qui s’ouvrait devant par des boutons lui allait à ravir, je me demandais ce qu’elle portait dessous.


Elle m’a dit ne pas m’avoir vu à la plage hier après-midi. Je lui ai répondu que j’allais à une plage naturiste un peu plus loin, que je n’avais jamais pu y aller avec ma femme et que c’était très agréable de se retrouver nu. Elle m’a avoué qu’elle n’oserait jamais le faire, trop pudique. J’ai retorqué qu’elle ne l’avait pas été hier avec moi. Elle m’a répondu en riant que ce n’était pas pareil de le faire devant plein de monde.


C’était le moment de passer à la vitesse supérieure. Je l’ai prise au mot :
- Si ce n’est pas pareil, enlève ta robe alors

Elle m’a regardé dans les yeux en souriant, un ange est passé, puis elle a déboutonné un après un tous les boutons de sa robe, me laissant entrevoir petit à petit ses seins libres, son petit ventre sexy et un petit string noir riquiqui et transparent. On devenait sa fine toison à travers. Ma bite a fait un bond sous le drap. J’ai continué le jeu :
- C’est mignon tout ça, il est très sexy ton string et il te va très bien
- Merci, je l’ai acheté hier
- Pour moi ?
- Oui pour toi


Elle s’est levée un peu et s’est tournée sur elle-même. Fière d’elle, elle s’est marrée en voyant le chapiteau que j’étais en train de monter.

A moi de reprendre la main, un peu sadique je fis monter la surenchère :
- Caresse-toi
- Quoi ? a-t-elle lâchée désarçonnée
- Caresse-toi, ai-je répété tout en descendant doucement mon drap pour lui montrer la bite et la prendre en main
- Qu’est-ce que tu me fais faire…


Elle s’est assise en face de moi, les jambes légèrement écartées, et le rouge lui montant au visage, a posé sa main sur son ventre, l’a descendu doucement jusqu’à l’élastique de son string, est passée dessous jusqu’à son sexe. A travers la tulle transparente, on devinait son index et son majeur se poser sur son petit bouton et commencer un lent mouvement circulaire. Sa respiration s’accéléra. Je regardais sa main s’activer sur sa chatte, elle regardait la mienne monter et descendre sur ma bite.
- C’est la première fois que je fais ça devant quelqu’un, même avec mon ex je ne me suis jamais caressée devant lui
- Pourquoi ?
- Parce que je n’ose pas
- Et pourtant là tu le fais
- Oui mais je ne sais pas, je suis en confiance avec toi
- Ça t’excite ?
- Oui…
- Et me voir me branler la bite ?
- Oui aussi…
- Je veux te l’entendre dire, qu’est-ce qui t’excite ?
- Je n’ai pas l’habitude de dire ce genre de choses
- Essaye, dis-le. Tu sais, y’a aucune honte à avoir


Marion continuait à fixer mon sexe. Puis après un léger silence, elle dit :
- Ça m’excite de te voir te branler la bite
- C’est bien, et ça t’excite que je te dise ce que tu dois faire ?
- Oui


Ça y’est, j’avais ferré le poisson. Je n’avais plus qu’à enrouler le moulinet. J’avais raison hier, petite tendance à la soumission, pas inactive pour autant, le tout saupoudrée d’une pincée d’ingénue. Fallait juste trouver la clé et allumer la mèche. Mélange détonnant. Un vrai bâton de dynamite cette nana.


Faut pas que je tombe amoureux…


- Viens me sucer maintenant

Elle ne s’est pas faite priée, a rampé jusqu’à moi et l’a prise dans ma bouche. Contrairement à la première fois, la parole s’étant libérée d’un coup, je pouvais maintenant lui dire ce que j’appréciais, quoi faire et je ne m’en privais pas. J’enchainais des « vas-y continue », « prend-la plus au fond », « caresse-moi les couilles ». Comme une bonne élève consciencieuse, elle s’exécutait avec application et elle apprenait vite. Je lui tenais les cheveux, aussi bien pour elle afin qu’ils ne lui tombent pas sur le visage que pour moi pour la voir avaler mon chibre et lui montrer jusqu’où elle devait le prendre en bouche. De l’autre main je me frayais un passage jusqu’à sa fente détrempée et son clito. Que c’est excitant de l’entendre gémir la bouche pleine. A ce rythme je n’allais pas tenir longtemps. Il fallait enchaîner.
- J’ai envie de te baiser
- Oui, vas-y, prends-moi maintenant, lâcha-t-elle en reprenant son souffle, un petit filet de salive la retenant encore à mon gland


J’ai attrapé une capote sur la table de nuit puis je l’ai fait s’allonger sur le dos, j’ai écarté son string gluant. Moi à genoux entre ses jambes écartées et relevées, j’ai pointé ma bite encapuchonnée sur son sexe béant et j’ai regardé mon gland tracer son chemin au travers de ses lèvres humides. Une délivrance, autant pour elle que pour moi. Je l’ai baisé ainsi, alternant mouvements lents et accélérations. Je lui disais des mots crus, elle gémissait et parfois osait me répondre par d’autres mots. Je lui ai ordonné de se caresser son clito pendant que je la baisais et en même temps je lui triturais ses tétons. Le plaisir est vite venu pour nous deux. Elle a joui, son corps se tendant, avec un gémissement profond. Je l’ai rejointe juste après, les contractions de son vagin sur ma queue venant à bout de ma résistance. Puis je me suis écroulée sur elle.


On s’est embrassé pour la première fois de la journée, baiser tendre d’amants venant de s’aimer. Elle m’a dit :
- Merci
- De rien. Je ne t’ai pas choquée ? Je veux dire avec ce que je t’ai dit ou demander de faire ?
- Non non, me répondit-elle, c’est juste que c’est un peu nouveau pour moi. Mais j’ai aimé a-t-elle gloussé en rougissant


C’était l’heure pour elle d’aller chercher ses s. Elle s’est penchée pour prendre sa robe. Belle vue sur la lune. Elle l’a enfilée et est sortie non sans m’avoir au préalable claqué un smack humide sur mes lèvres.


Faut pas que je tombe amoureux…



Je me suis rendormi comme une masse et j’ai émergé péniblement à 17H. J’avais besoin de dormir et de récupérer. Après-midi foutue. Que faire maintenant ? Je choisis le lèche vitrine dans le centre. La foule remontait de la plage surchauffée. Les trottoirs étaient bondés. L’heure de l’apéritif arrivait. Je me suis posé en terrasse dans un bar au coin de l’avenue. Tour de contrôle parfaite. Un journal, une bière, une cigarette. Que demander de plus. Les jolies filles passaient devant. Des mecs mignons aussi. J’avais du mal à me concentrer sur l’article du Monde sur la comparaison entre l’isolationnisme des années 30 aux USA et les barrières douanières de Trump. Pas grave. J’ai vu passé Marion avec ses deux s. Elle m’a fait un clin d’œil. Elle voulait qu’on reste discret par rapport à ses s et je la comprenais tout à fait. Un peu plus tard, c’est Alexandre, le mec homo copains des deux restaurateurs, avec l’un des couples hétéros rencontrés la veille qui sont venus me dire bonjour. Comment s’appelaient-ils déjà ? Ah oui, Caroline et Mathieu. J’ai invité les trois à venir s’assoir avec moi. Ils m’ont dit qu’ils ne m’avaient pas vu à la plage naturiste cet après-midi. J’ai prétexté un bon coup de fatigue puis j’ai ajouté :
- Pourquoi, vous me cherchiez ?
- Peut-être, a répondu malicieusement Alexandre
- Cela aurait été sympa, ont renchéri Caroline et Mathieu.


Merde, à quoi ils jouaient ces trois-là. Enfin Alexandre, je comprenais mais les deux tourtereaux je ne me serais pas méfié en les voyant. Alexandre, c’était une crevette. 1M70, tout mince, un peu dégarni avec ce qu’il lui reste de cheveux rasés, visage avenant. Mathieu était bien plus grand, svelte, châtain, sexy en diable, volubile au point de parler pour quatre. Et Caroline était une belle brune élancée, plus grande que moi, poitrine avantageuse, joli visage. Les trois étaient trentenaires, habitaient Paris et avaient une belle situation professionnelle dans le conseil, la banque et le marketing.


Je me suis laissé convaincre d’aller diner avec eux. C’était un traquenard mais en vérité ils n’ont pas eu besoin de beaucoup argumenter non plus pour que je les suive. Ils partageaient une belle villa pas très loin du lac avec un autre couple qui était absent ce soir-là. Architecture contemporaine en bois, beau jardin, piscine. Tout était magnifique, eux inclus. Diner sur la terrasse, côte de bœuf au barbecue et salade froide de pates, le tout arrosé d’un rosé frais. On était bien.


A la fin du diner, prétextant la chaleur, les trois se sont levés, déshabillés et ont plongé nus dans la piscine. Dans la pénombre on ne distinguait que leurs silhouettes. Je n’allais pas faire la mijaurée, je me suis dessapé et je les ai rejoints. Les corps se frôlaient, tantôt l’un tantôt l’autre. L’atmosphère devenait plus électrique. Pour me reposer un peu, je me suis mis le dos contre la margelle, les coudes calés en arrière. Alexandre en a profité pour s’approcher, se coller à moi et m’embrasser à pleine bouche. Je me suis laissé faire avec délectation. Nos bites se sont tendues rapidement et se touchaient sous l’eau. Sa main est passée entre nos deux corps pour venir me branler doucement. J’ai soupiré d’aise.


Puis il a pris ma main et m’a sorti de la piscine, nous a séché avec une serviette. J’ai pu admirer son petit cul totalement imberbe quand il s’est retourné pour me conduire, toujours main dans la main, vers une des chambres de la maison. Mathieu et Caroline étaient également sortis de la piscine et nous suivaient comme si cela était tout à fait naturel.


Une fois dans la chambre, Alexandre s’est assis sur le lit et m’a positionné debout devant lui. Ma bite était juste devant sa bouche, pas encore bandée et il l’a avalée d’un trait. Je pouvais voir sa tête aller et venir à la lumière tamisée des petites lampes de chevet de chaque côté du lit et rapidement ma queue s’est érigée et a pris toute son ampleur. Mathieu et Caroline nous ont rejoints, Mathieu à côté de moi, me souriant tandis qu’Alexandre prenait sa queue bandée dans sa main, Caroline assise dans un fauteuil à côté du lit sur ma droite, les jambes écartées, sa main droite se posant sur sa fente, sa main gauche sur son sein. Quelle ambiance érotique ! On s’est embrassé avec Mathieu pendant qu’Alexandre passait d’une bite à l’autre. Je passais ma main sur les fesses de Mathieu et visiblement il n’y voyait aucun inconvénient. Je pouvais voir sa queue, très longue en forme de fusée avec un petit gland effilé au bout. Beau morceau. Alexandre nous montrait ses talents du suceur, avalant en entier la mienne ou celle de Mathieu sans sourciller. Il aimait être soumis et parfois je plaquais sa tête contre mon pubis pour sentir mon gland s’immiscer au fond de sa gorge. De mon autre main je furetais un doigt humide de ma salive sur la rosette de Mathieu pour l’assouplir petit à petit.


Tous les trois nous entendions les petits gémissements de Caroline qui continuait à se faire du bien. Elle était à la fois exhib et voyeuse, prenant manifestement plaisir à voir son mec avec d’autres.

Alexandre a pris la suite des opérations, en se plaçant en levrette au milieu du lit et en me tendant une capote. Honneur à moi donc. J’ai placé mon gland contre son trou, et c’est lui qui s’est reculé pour s’empaler. Délicieuse sensation. J’ai commencé à le limer doucement alors qu’Alexandre avait repris la queue de Mathieu en bouche. Ma bite se faisait littéralement avaler par son cul affamé. Entre deux coups de langue sur le gland de Mathieu, il me fit comprendre de ne pas hésiter à le baiser fort. Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Pas de problème, étant bien élevé j’ai obéi. J’y allais franco, en tapant bien au fond. Ses gémissements répondaient à ceux de Caroline. J’avais maintenant la stéréo.


Je me suis arrêté avant d’atteindre le point de non-retour et j’ai laissé la place à Mathieu, histoire de souffler un peu. Je comptais venir me faire sucer par Alexandre mais Mathieu, une fois en place au fond du cul d’Alexandre, m’a tenu la main et m’a susurré un « caresse-moi les fesses » pendant qu’il allait et venait. Il avait écarté ses genoux et cambré son dos pour que naturellement ses deux lobes s’écartent, me laissant un passage vers son trou. J’ai repris alors mon travail de préparation en prenant un peu de gel sur la table de nuit. Un doigt. Deux doigts, presque trois. Il encaissait bien le Mathieu.


J’ai mis une autre capote et me suis positionné derrière. Mathieu avait arrêté de bouger en attendant l’intromission. Cette fois-ci j’y suis allé plus progressivement, d’abord mon gland le temps qu’il s’y habitue. Puis j’ai poussé lentement jusqu’à la garde, jusqu’à coller mon ventre contre son dos, jusqu’à prendre son visage dans mes mains pour le tourner vers moi et l’embrasser. Son cul était bien plus étroit que celui d’Alexandre, enserrant ma bite avec force. Je me suis reculé un peu et Mathieu a commencé un lent va et vient. Il baisait Alexandre et en même temps il se baisait sur ma queue. J’accompagnais son mouvement en rythme pour en augmenter l’amplitude de la pénétration. On venait de passer de la stéréo à la quadriphonie, quatre voix emplissant la chambre de plaisirs. Mathieu et moi avons joui pratiquement au même moment, les contractions de son cul entrainant ma jouissance. Les murmures de Caroline nous ont indiquait que l’orgasme la submergeait.


Ils m’ont avoué après qu’ils faisaient ce genre de plan de temps en temps et que le récit de Franck et Olivier sur la plage les avaient particulièrement excités. Je les ai laissés en les remerciant et suis rentré repus au studio. Encore une journée chargée. A ce rythme je ne vais pas beaucoup me reposer moi.


Je commençais à somnoler dans mon lit lorsque je reçus un sms de Marion :
- Tu fais quoi ?
- Je m’endormais. Et toi ?
- Je repense à tout à l’heure
- Et ?
- J’ai beaucoup apprécié
- Moi aussi
- Tu fais quoi demain matin ?
- Je n’ai rien de prévu. Pourquoi ?
- Tu voudrais bien me montrer la plage naturiste ?
- T’es sûre ?
- Oui, enfin je ne sais pas, on verra, j’ai envie de voir
- T’inquiète, on fera comme tu veux.
- Ok merci, bisous
- Bisous, fais de beaux rêves

Faut pas que je tombe amoureux…